Horreur! Le garagiste trouve des problèmes avec les ball-joint (encore) et les freins. Coût des réparations excèdent mes moyens! Ça veut dire que je ne pars plus! Ho! Coup dur.
Mais je pense à mon ami Jacques, qui s'y connaît en voiture et que j'avais, de toutes façons, envie d'appeler.
Je vais coucher chez lui ce soir-là et lendemain (le 15), Rubis rentre au garage. Jacques et son employé réussissent à faire les réparations nécessaires pour un montant que je peux me permettre... Ouf!
Prêt à partir.
C'est une boucle. À mon retour des USA, en juin, Rubis avait aussi eu besoin de réparations d'urgence. Et la voilà de nouveau juchée en l'air, la veuille de son retour aux USA...
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