mardi 26 janvier 2010

La terre n'est qu'un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens

Une citation de Bahá’u’lláh que j'ai lue à 16 ans, en voyage à Québec.
Toujours d'actualité pour moi. Au nom de quoi un gouvernement peut-il m'interdire de voyager là où je le veux, en autant que je demeure honnête?

Nous acceptons ces limites, ces frontières sans trop les remettre en question mais si l'on y pense, le monde en entier ne nous appartient-il pas?

Nous sommes enfants de la Terre et nous devrions avoir le droit de circuler sur celle-ci comme bon nous semble.

Les frontières me semblent servir des intérêts économiques plutôt qu'humains, en créant des zones de petits salaires, d'exploitation. Le capital peut circuler mais pas les travailleurs.

À quand la libre circulation des personnes en Amérique du Nord, comme en Europe?

Je sais que le gouvernement mexicain a commencé à en parler mais que le gouvernement américain s'y est opposé.


Pour en revenir aux baha'is, je suis impressionné par leurs principes essentiels, formulés il y a près de 150 ans, qui sont à peu près les mêmes que ceux que professent les défenseurs des droits de l'homme.

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