Au début de 2009, l'auteur a quitté le Québec pour aller vivre quarante jours dans le désert américain, seul, sans lecture, sans radio, sans télévision, sans ordinateur, dans la solitude la plus totale. Ce road blogue est le récit de cette aventure, depuis ses tout débuts jusqu'à aujourd'hui.
vendredi 12 février 2010
La richesse, selon les Navajos
Le vent qui gémit, de Tony Hilleman, s'accompagne d'un glossaire navajo. La richesse y est ainsi définie : le désir de posséder est, chez les Navajos, le pire des maux, pouvant même s'apparenter à la sorcellerie. Citons Alex Etcitty, un Navajo ami de l'auteur : « On m'a appris que c'était une chose juste de posséder ce que l'on a. Mais si on commence à avoir trop, cela montre que l'on ne se préoccupe pas des siens comme on le devrait. Si l'on devient riche, c'est que l'on a pris des choses qui appartiennent à d'autres. Prononcer les mots "Navajo riche" revient à dire "eau sèche".»
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